Vegazi on t'a déjà pris pour un homme ? (hommage) 07/08/2015
Actuellement en Pack Préco (précommande + PDF offert immédiatement), le module Pathfinder Les Filles de la Fureur est considéré chez BBE comme la meilleure aventure publiée pour cette gamme ! Devant L'Injonction du dragon, déjà de très belle facture, c'est dire.
C'est très bien tout cela, mais vous avez sans doute envie de savoir pourquoi nous la considérons comme tel (Perceval, sors de ce corps !).
La raisons principale, c'est que c'est le sans faute du début à la fin : de la première scène à la dernière, le module est très cohérent et efficace. Les Filles de la Fureur est excellement bien maîtrisé et donne à la fois agréablement dans l'action, la discussion et la réflexion. Pas de scène déceptive ou de donjon trop massif pour perturber l'enchaînement des évènements, qui rappelle un peu les bons côtés de la Main rouge du désastre, le très sympa scénario D&D3.5, puisqu'il s'agit là-aussi de défendre un village contre des éléments perturbateurs.
La petite ville frontière d’Arwyll est en danger, assiégée de tous côtés par des orques... et des diables ! L’arrivée de ces deux armées au même moment soulève de nombreuses questions, notamment lorsque la demi-orque Vegazi vient proposer son aide contre la tribu des Filles de la Fureur. Dans le tumulte des évènements, les PJ devront convaincre les citoyens de combattre ces envahisseurs et déterminer qui est à l’origine de ces attaques, et surtout, pourquoi !
Laissez-vous tenter, vous ne le regretterez pas. Dans sa présentation, ce scénario est le plus "français" de la gamme Pathfinder et il n'y guère de doute dans notre esprit : vous ne serez pas déçu !
Pour vous mettre dans l'ambiance, nous vous laissons avec une petite preview sur la ville d'Arwyll :
Dominant les remparts de pierre rouge qui entourent Arwyll, les sommets de différents bâtiments sont à peine visibles du bas des falaises rocailleuses qui se rejoignent pour former le plateau où se dresse la ville. Un dénivelé au sud-ouest et un chemin en lacets au nord-est permettent d’accéder aux portes de bois lourdement fortifiées de la ville.
Plusieurs autres petits plateaux naturels s’élèvent parmi les habitations d’Arwyll servant d’arrière-cours aux habitants ou abritant d’impressionnantes structures. Le plateau au nord-est recèle la plus ancienne mine de la ville, une carrière de pierres, la prison et la potence. C’est cette dernière qui donne son nom à ce plateau : la Crête du Pendu.
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