Casus Belli est mort... vive Casus Belli ? 259
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J'apprécie l'honnêteté dont tu fais preuve en précisant que ça correspond à ton expérience. La mienne est différente mais, au final, ça ne change pas grand chose et, surtout, c'est encore une fois hors sujet. N'oublions pas que le sujet est l'avenir d'une éventuelle nouvelle incarnation de Casus...
Je me suis permis d'appeler de mes voeux une formule qui me ravirait. Qu'elle voit le jour ou non ça ne m'empêchera pas de continuer à masteriser et à jouer (quand je peux). En bon provincial que je suis (petite pique amicale envers nos amis de la capitale) je bataille toujours autant pour trouver du monde avec qui jouer et, malheureusement, quelle que soit la version Casus n'a jamais rien changé à ça...
Laurendi
- du départ des membres piliers de l'équipe qui démotivent ceux qui restent (on a tous vécu ça en entreprise) ;
C est une hypothèse, ou une info concrète?
Galadorn
Ce ne peut que être une hypothèse 😊 qui aurait pu être exacte, mais en l'occurrence ce n'est pas le cas.
- Laurendi
Visiblement, je ne dois plus savoir lire le français. C'est une simple lecture de l'annonce.
Tout simplement dans l'annonce :
LaurendiLa rédaction elle-même n’est pas à l’abri, avec des rédacteurs qui ont souhaité passer à autre chose, ou qui ont eu moins de temps à consacrer au magazine.
Euh... L'annonce évoque une équipe de rédaction qui s'est renouvelée, je ne vois pas comment on peut en déduire le "départ des membres piliers de l'équipe qui démotivent ceux qui restent" 😉
- Laurendi
Si tu t'intéresses pas aux auteurs et à leurs travaux, c'est compréhensible.
- jtrthehobbit
Euh, le truc c'est que Slawick, il écrit dans le magazine. Moi aussi d'ailleurs. Romain d'Huissier aussi. Donc, si on te dit que nous trois (et je suis certain pour Romain vu que j'en ai parlé avec lui récemment) on était motivé pour continuer d'écrire encore longtemps, ben c'est juste vrai.
Je ne saurais parler pour toute la rédaction bien entendu.
Et il est certain que le communiqué stipule qu'il y a eu un turnover récent qui a pesé dans la décision.
Cependant, de là à dire que ça a démotivé l'équipe - ce qui pourrait être compris comme "toute l'équipe", ben là, non. Des rédacteurs motivés, en voilà déjà trois !
Et je suis persuadé qu'il y en a d'autres dans l'équipe, mais je ne veux pas parler pour eux. En fait, je trouve que tu extrapoles un peu trop.
Mince oui pardon, j'ai pas précisé, mais je répondais en tant que membre de la rédac. J'ai rejoint Casus depuis le numéro 22 ou 23, et j'édite la partie actualité (c'est à dire les news, les critiques et l'étagère) depuis le 47. Comme le dis mon bien estimé collègue, il y a des rédacteurs qui participent moins ou ont arrêté leur participation, d'autres aussi ont rejoint l'équipe, mais des "pilliers" dont le départ aurait provoqué une démotivation, non - il n'y a pas eu de départ de pilliers tout court, du moins tel que je le perçoit.
- Ragnar
- et
- Laurendi
En tant que lecteur/abonné, Damien & Tom sont pour moi des piliers. Il y a eu une très belle publication de Frédéric Meurin.
Je n'accuse et insulte personne. Je dis simplement que le départ de collègues d'un projet démotive et questionne. Ce n'est pas votre cas, félicitations !
Visiblement les invocations de Bourdieu sont plus pertinentes.
En tant que lecteur/abonné, Damien & Tom sont pour moi des piliers. Il y a eu une très belle publication de Frédéric Meurin.
Je n'accuse et insulte personne. Je dis simplement que le départ de collègues d'un projet démotive et questionne. Ce n'est pas votre cas, félicitations !
Visiblement les invocations de Bourdieu sont plus pertinentes.
Laurendi
Aucun problème hein ton point était tout à fait légitime.
Vous avez raison de mentionner Tom. Sans lui, Casus v4 n'aurait jamais tenu 50 numéros, il a beaucoup fait pour péreniser le titre à son arrivée. Mais il y a eu une bonne transition avec Marc, ce qui a assuré une certaine continuité et évité l'effet d'écroulement qui était en effet un risque.
Damien, que j'admire par ailleurs beauoup, c'était plus un pilier de BBE que de Casus, qu'il avait justement confié à Tom. Passé les premiers numéros, il n'avait plus de rôle fort dans le magazine, en tout cas côté rédaction.
Ceci dit, cela reste ma vision, qu'il faut prendre avec du recul: comme toute la rédaction à part Marc, je suis externe à BBE, et il y a pu y avoir plein de choses en sous main que je n'ai pas vu, surtout côté créa.
Pour rejoindre la vision de Slawick, moi quand j'ai rejoint la rédaction de Casus, je n'ai jamais eu à faire à Damien C. à part pour une interview vidéo (et je suis dans le coin depuis quelques années). Je confirme en effet que Thomas a très bien passé la main à Marc et que ce n'est pas une démotivation de la rédaction, loin de là, qui a amené BBE a arrêté Casus. D'autant plus que les départ de vieux piliers sont aussi l'occasion de faire rentrer du sang frais (ou de rappeler d'autres anciens pour leur demander de reprendre du service ).
Le coup est rude pour les anciens. Un Casus qui paraît, c'est une madeleine de Proust, mais fraîche !
Si j'extrapole mon cas personnel, beaucoup seraient près à payer bien plus (50 % plus, par exemple), pour que l'aventure continue. A mon avis l'élasticité de la demande au prix n'est pas élevée sur Casus. Une bonne partie du lectorat doit être senior, et avec pouvoir d'achat (les mêmes qui pldegent énormément). Pourquoi ne pas lancer un sondage auprès des abonnés ? Ne pas sous-estimer leur attachement au magazine.
Ensuite, pour une nouvelle version je propose :
Suppression de la rubrique critiques dans son état actuel - Trop superficielle du fait d'une pagination des articles insuffisante, et trop décalée dans le temps versus "presse" en ligne - au profit d'une rubrique Analyse de jeux/de gammes, une sorte de critique élaborée, avec des rédacteurs qui ont vraiment joué aux jeux/campagnes critiquées, pagination conséquente, 3 ou 4 articles de la sorte par livraison. Avec liberté de plume.
Les rubriques Nouvelles du Front et Nouvelles d'ailleurs sont à conserver.
On peut garder tout le reste, en évitant les campagnes sur 3 numéros, qui frustrent ceux qui ne possèdent pas le jeu concerné.
Eviter absolument les scénarios "génériques", auxquels il est difficile de donner du goût.
Et voilà c'est tout, et ça devrait suffire à contenter le lectorat !
Bises à tous les rédacteurs et collaborateurs de la revue,
Jérôme
La aussi c'est etonnant , vous mettez fin à casus sans lui laisser une chance en lancant une PP ? D'habitude vous faites des PP pour toutes les games .
Aprés n'oublions pas l'augmentation du prix du magazine qui est passer de 9,50 à 14,50 , les gens n'ont pas des porte-monnaies extenssibles ni de sac sans fond (dommage), c'est logique qu'il y'est des habitués de votre magazine qui n'ont pas continué l'abonnement.
La PP me semble aussi être la seule manière viable de continuer, en supposant que BBE le souhaite (on diraît que non).
A priori, le coût de production d'un numéro est connu, donc il "suffit" de demander un montant minimum correspondant lors de la PP (x un certain nombre de numéros), et de fournir du PDF. La version imprimée serait "en option" donc à priori là aussi un nombre connu, cela semble assez équivalent à vendre un supplément classique au final.
Vu ce mode de fonctionnement, il faudra je suppose supprimer les contenus trop "actualité". Dommage parce que c'était très agréable.
- Federico67
Si j'ai bien compris le "pb" du Casus actuel est double : financier mais aussi editorial.
Espérons qu'ils trouvent une formule pour une v5 prochainement.
J'imagine que dans le cas précis le financier et l'éditorial sont liés : CB v4 ne rapporte pas assez parce que le contenu ne correspond pas aux attentes d'un lectorat assez large. Je schématise mais l'idée est là il me semble.
Le problème reste qu'il me semble que le noyau dur des lecteurs réside ici, du coup ça va pas être facile pour savoir ce que pensent "les autres"....
- Dyvim Star